Ces essentiels accessoires d’automne
Quelques accessoires pour vous permettre d'en profiter encore un peu avant l'hiver
Les journées qui raccourcissent, le thermomètre en chute libre, les forêts qu’on jurerait en feu. Les signes ne manquent pas : la saison automnale s’installe petit à petit au Québec. Rien, toutefois, pour freiner l’élan du cycliste enthousiaste... et un brin préparé.
Pour demeurer visible
Encerclez le 23 septembre dans votre calendrier : c’est l’équinoxe d’automne, soit le moment où la durée du jour est égale à celle de la nuit. Après cette date, les journées raccourcissent à vue d’œil. Pour triompher dans la lutte contre l’obscurité, on opte pour des lumières pour vélo, comme l’ensemble Mini USB de Topeak, ainsi que pour les autocollants réfléchissants de la compagnie québécoise Glint.
Pour les sorties frisquettes
La température moyenne en octobre au Québec est d’un maigre 8 °C. Pas de quoi écrire à sa mère... ni faire tomber sa veste! Au contraire : on veut s’en procurer une qui garde au chaud, tout en évacuant l’humidité. Surtout, il faut qu’elle puisse être enlevée, puis rangée en un tournemain. Les vestes sans manches et coupe-vent, comme la Pack Me de Cannondale, répondent à tous ces critères. Il les choisit ajustées, si possible.
Pour éviter les pieds bleus
Il n’y a rien de pire que de conclure une sortie avec les pieds bleuit par le froid, chose d’autant plus courante que les souliers de vélo sont assez étroits, en règle générale. Les bas en laine de mérinos, comme les Woolie Boolie de Defeet, préservent les petons à la fois au sec et au chaud. Par temps glacial, on les combine avec des couvre-chaussures, comme les Estremo de Castelli.
Pour ne rien manquer de l’action
L’automne venu, Dame nature a cette fâcheuse tendance de se décliner en camaïeux de gris sans éclats. Dans ces conditions, les lunettes teintées sont aussi inutiles que dangereuses ; elles nuisent à la lecture de la route et de ses vicissitudes. L’idéal est de privilégier des lunettes munies de lentilles qui s’adaptent automatiquement à différentes conditions de lumière, comme les Jawbreakers de Oakley. Les montures à lentilles interchangeables sont aussi à considérer.
Pour les jours mouillés
La pluie s’invite en moyenne un jour sur trois durant la saison automnale au Québec. Lorsque les feuilles jonchent le sol, il se forme alors une soupe salissante sur les bords de route. Afin de revenir à la maison avec le derrière bien au sec, on jette son dévolu sur un garde-boue ultraléger et facile à installer, comme le S-Guard de SKS. Côté confort, on aime les Diluvio C de Castelli, dont le néoprène est hydrophobe.
Pour un vélo silencieux
« Couic, couic, couic. » Vous connaissez la ritournelle du vélo qui grince, faute d’entretien suffisant ? À l’automne, la pluie et les saletés qui jonchent les accotements imposent un lourd fardeau à la mécanique fragile des vélos de route. Huiler la chaîne et les autres composantes mécaniques de sa monture à l’aide d’une huile adaptée, comme le lubrifiant Wet de Finish Line, s’avère donc une bonne idée.